Hotel Edelweiss

stay sexy in a distant universe

Attention: vous êtes sur le point de tomber amoureux. Dans une maison qui réjouit les voyageurs avec une individualité surprenante et des déclarations étranges. Depuis 1856,

Dormir
Si vous réservez Edelweiss, vous aurez edelweiss. 24 heures sur 24. Et c’est comme ça la nuit. Où on serait en train de dormir. Ou le sont. Mais dans l’ordre. Il y a près de 50 ans, on a imaginé des chambres et des suites - nous vous appelons affectueusement des marges de manœuvre - qui se sont balancés au coin de la rue. Créé pour les voyageurs qui désirent des vacances et un logement en costume sur mesure. Ils ne sont pas du tout à l’aise avec les vacances « de la barre ». Intérieur, inventaire. Rassemblé de toutes les parties possibles et impossibles du monde. Réunis pour former des œuvres d’art souples. Des logements où il est difficile de les décrire.

Manger
Le dîner. La main sur le cœur. Pour beaucoup de skieurs, c’est la vraie raison de partir en vacances au ski, de tourner le dos à la maison. Pour se consacrer entièrement aux délices de toutes les casseroles et poêles à frire. Se livrer à l’envie et à la passion de la très bonne nourriture.
Du matin au soir. Pour des raisons purement sportives, bien sûr , pour répondre avec suffisamment de force aux défis de la journée de haute-alpine.

Petit-déjeuner à Edelweiss ? Un défilé savoureux de convoitises. Comme il se doit. Pour les gens de bon goût qui aiment hocher la tête même si ça peut être un peu plus. Des bonnes choses de la vie.

A midi à Edelweiss ? C’est là que se rencontrent les gens sympas, qui ont déjà été si sympathiques au petit déjeuner avec les nombreux clients d’autres maisons qui aiment la combinaison d’eats, de boissons &chillex au bar ou à la terrasse. Pour - à première vue - des plats simples, mais - sur la deuxième morsure - excellents plats.

Le soir, à Edelweiss ? S’arrêtez fermement chers amis du plaisir. Il y a beaucoup de choses nouvelles à rapporter. D’une part, nous avons balancé le menu classique de l’assiette et nous offrons maintenant des dîners á la carte dans le cadre de la demi-pension à la demande de Tusch Tataaa. Libre choix, libre circulation sur le téléphérique des plaisirs. Comme ça. Et d’un autre côté, une étoile puissante brille désormais au-dessus de l’Arlberg. Sur Zürs, au-dessus de l’hôtel Edelweiss.
L’ancien restaurant à la carte Chesa im Edelweiss s’appelle désormais « TIAN en vacances de ski à Zürs ». Et pour cause. Paul Ivic fait enfin entrer dans les montagnes son concept végétarien TIAN intransigeant et raffiné. A l’Arlberg. En exclusivité au Edelweiss. Après la cuisson à Vienne et à Munich de Michelin Sterne et gault Millau capots.
TIAN crée ainsi le premier et le seul restaurant gastronomique végétarien sur l’Arlberg. Et oui — nous en sommes vraiment un peu fiers. Parce que nous connaissons les palais fins et intelligents de nos hôtes et que nous pouvons dès à présent commencer à des sauts culinaires végétariens. Et je le fais.

Vie
Nous estimons que 101 de 100 de nos edelweiss invités à Zürs seraient pris en flagrant délit d’avoir caché des ustensiles de ski dans leurs bagages. Ce qui n’est pas surprenant. S’il y a le grand monde blanc. Pour les planches qui représentent le monde. Mais revenons au décollage avant l’ascenseur. Ou la gondole. Il n’est pas toujours facile de se lever des tables de petit déjeuner abondamment couvertes. « Il n’est qu’à 11 h 30 », disent les uns, « regarde, le bar pour une boisson de jour est déjà ouvert » les autres. Désintéressée dans l’idée de vouloir tenir compagnie au charmant Barman.

Ou suivre le nez pour découvrir les parfums séduisants du spa ? Non, ça peut attendre. A plus tard. À la suite. Au lieu ou après l’apres skis. Alors que nous en revenons au sujet. Le ski sur lequel, bien sûr, tout tourne et agite. Après seulement quelques mètres, l’aide à l’ascension agréable sous la forme d’un train flexique moderne attend des alpinistes consentants qui sont impatients de passer des centaines de mètres d’altitude en quelques minutes sans calories. A ce moment-là. Oui, pour profiter de la vue, regarder la télé sans streaming. Mettre les premiers élans dans la neige. «Juchatzn" (ou, comme nous le disons vorarlberg: exprimer la joie de se réjouir vocalement). Sur le bord de la piste, puis les stations de labe extrêmement populaires sous forme de possibilités de retraite agréables, où en dehors de la femme, on aime bien offrir du vin et du chant. Et bien sûr, beaucoup de calories très sophistiquées. La journée a été longue. Ça va être long. C’est long.